INTRODUCTION
Chapitre 1: L’Art de la course au Large
Une dance avec les élàments
Dans une course transatlantique, il faut foncer, manœuvrer avec Depuis plus d’un siècle, les courses transocéaniques incarnent l’audace, la stratégie et la quête de vitesse sur les mers du globe
De la première traversée en 1866 à la mythique Course vers le paradis, ces compétitions maritimes ont vu naître des exploits techniques et humains hors du commun.
Dans cet article, je vous invite à embarquer pour une épopée nautique, où chaque skipper, chaque voilier et chaque mille parcouru raconte une histoire de passion, de dépassement et de liberté. Une histoire qui croise la mienne, celle d’un marin marocain engagé dans la transmission des savoirs et des récits du large.
précision, choisir le meilleur cap, capter la moindre brise, et maîtriser toute la toile du navire. L’objectif ? Aller vite, toujours plus vite… mais sans jamais perdre le lien avec la mer.
Chapitre 2 – Le Paris des Milliardaires
La Naissance d’une Légende
La première grande course transatlantique fut lancée en 1866, au Yacht Club de New York, autour d’un verre entre milliardaires aventuriers. L’enjeu : 90 000 dollars, une somme colossale pour l’époque.
Trois voiliers prirent le départ le 11 décembre 1866. Le Henrietta franchit la ligne d’arrivée en Angleterre après 13 jours, 21 heures et 45 minutes, à une vitesse moyenne de 9,31 nœuds. Une performance record pour l’époque.

Chapitre 3 : L’Âge d’Or des Traversées
Des Courses devenues rituelles
Depuis cette première traversée, les courses transatlantiques se sont multipliées. Elles se disputent désormais tous les deux ans, au départ de Newport ou des Bermudes, vers des ports européens : Grande-Bretagne,Espagne, Scandinavie…
Chapitre-4: La Course Vers Le Paradis
Los Angeles-Tahiti: Le Reve Tropical
La plus longue course transocéanique relie Los Angeles à Tahiti. Baptisée “La course vers le paradis”, elle se déroule tous les deux ans. En 1972, elle est remportée par Éric Tabarly à bord du Pen Duick III.
Histoire De Bord
En 1970, Alain Cola loue le voilier Narragansett pour participer à cette course. À bord, Alain Gliksman affronte les éléments : bôme cassée, poulies éclatées, voie d’eau… Une aventure humaine intense.

Chapitre 5: Le Retour Vers L’Europe
En 1976, après la course transatlantique anglaise en solitaire, la revue Voile et Voiliers organise une épreuve retour : Newport – Açores – Saint-Malo. Une boucle qui relie les continents et les passions.
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Conclusion
Les courses transocéaniques sont bien plus que des compétitions : ce sont des chevauchées maritimes, des récits de courage, des laboratoires de l’extrême. Elles incarnent l’esprit du marin : oser, apprendre, transmettre.
À travers mon propre parcours et ces légendes du large, je souhaite inspirer et former celles et ceux qui rêvent de prendre le large. Car chaque traversée est une école, chaque sillage une mémoire, et chaque vent une promesse.
